La présence des marécages peut faire figure d'avantage, mais pourrait aussi bien dégénérer en piège à grande échelle. Sur la carte précédente le GE s'est retrouvé à un moment acculé sur un très petit territoire; pour s'en sortir il a tout mis sur nous qui avions la partie de la carte la plus intéressante et nous nous sommes fait complètement rétamer.
Imaginons qu'il refasse ceci sur cette carte, seul ou même aidé de l'AT (les 2 VS 1 sur la FL sont une grande tradition de CoM, même si depuis que je suis maréchal j'ai réussi à tous les éviter, sauf un qui a été plus ou moins provoqué volontairement (disons que j'en avais pas particulièrement envie, mais j'ai préféré garder la stratégie que j'avais lancé plutôt que d'annuler tout risque de 2 VS 1) et qui n'a pas duré plus d'une semaine sans causer beaucoup de pertes à la FL): nous sommes plus résistants et plus efficaces qu'au début de la carte, mais les marais gêneront grandement nos mouvements et nous pourrions vite nous trouver dans une situation intenable.
Je vais bien sûr m'arranger au mieux pour que ça n'arrive pas, que ce soit par des moyens stratégiques ou des moyens diplomatiques.
Il faut aussi garder en tête que si cette barrière nous avantage en défense, elle nous gêne grandement en attaque. Pour prendre un QG situé derrière la barrière nous devrons agir vite et fort car un front de longue durée ne pourrait que tourner à notre désaventage, même face à un adversaire plus faible: nos clonés mettraient beaucoup trop de temps à revenir comparé aux leurs. Vous allez me dire qu'on a qu'à attendre que les autres attaquent... Oui, mais non: y'a rien de plus démoralisant que l'attente dans un jeu comme CoM.
Il faut donc rester vigilents avec tous ces marais: ils vont nous forcer à revoir complètement nos techniques d'attaques et de défense.